Disjoncteur différentiel ou divisionnaire qui saute : que faire pour ses appareils électroménagers ?

L’électricité est un vaste sujet qui mérite attention et prudence mais qui nécessite également de solides connaissances. Bien entendu, Adepem ne veut pas vous transformer en électricien, car chacun son métier et son expertise, mais au moins vous livrer quelques clés, astuces et conseils quand un disjoncteur fait des siennes. Que la panne soit isolée ou totale, qu’elle concerne un disjoncteur, une fuite électrique ou un appareil électroménager défectueux, le plus important est de la résoudre rapidement et de vous mettre en sécurité si nécessaire. Quand “un plomb saute », on pense tout de suite que le tableau électrique, devant être aux normes électriques, est le premier responsable. Et pourtant, une surtension, un court-circuit ou toute surcharge peuvent être aussi causés par un four, un lave-vaisselle, une machine à laver, un réfrigérateur, un grille-pain, une cafetière ou encore un micro-ondes.

Quel est le rôle du fusible ou du disjoncteur ?

Le disjoncteur est un dispositif électrique très courant dans notre quotidien. Intégré au tableau électrique ou à un appareil fonctionnant à l’électricité, il nous garantit la sécurité et le bon fonctionnement d’une installation électrique. Portrait de mille et un disjoncteurs, et principales caractéristiques, habillant le tableau électrique de tout bâtiment.

Pouvoir de coupure et de protection d’un disjoncteur électrique (ou disjoncteur magnéto thermique)

Le disjoncteur électrique, au même titre qu’un fusible, est un petit module (ou organe de sécurité) logé dans le tableau électrique. Il a pour vocation de protéger votre installation électrique, vos équipements, votre logement et vous-même, de tout risque de surtension, de court-circuit ou de surcharge. Il existe également des disjoncteurs et des fusibles pour de nombreux appareils électroménagers tels que les lave-vaisselle, les tondeuses, les congélateurs, les cafetières, les réfrigérateurs, les fours, les lave-linge…. On l’appelle également disjoncteur magnétothermique car il a la capacité de détecter les courts-circuits à l’aide d’un dispositif magnétique et les surcharges grâce à un dispositif thermique

Alors que le fusible peut être endommagé quand il “pète les plombs”, le disjoncteur est conçu pour ne subir aucune avarie particulière. Cela en fait une pièce précieuse au cœur de votre tableau électrique. C’est pourquoi la norme NF C 15-100 a rendu obligatoire le remplacement des fusibles par des disjoncteurs.

Le tableau électrique est composé de plusieurs sortes de disjoncteurs, tous fonctionnant sur le même principe, un pouvoir de coupure et en tant que dispositif de protection, selon un calibre (ou intensité) et une sensibilité (exprimée en milliampères ou en ampères) propres.

Disjoncteur monophasé, triphasé, unipolaire, bipolaire ou tétrapolaire pour vos appareils électroménagers ?

Installation en monophasé

Le monophasé demeure l’installation électrique la plus courante dans les logements. Elle peut répondre à tous les besoins domestiques, depuis l’éclairage jusqu’au chauffage en passant par l’eau chaude sanitaire si vous faites poser un chauffe-eau pour lequel nous pouvons d’ailleurs vous proposer bon nombre de pièces détachées. Le monophasé est suffisant pour un usage optimal de vos appareils électroménagers tant que la puissance du compteur électrique ne dépasse pas 12 kVA. 

Installation en triphasé

L’installation en triphasé est recommandée si la puissance nécessaire dépasse ce seuil, que vos appareils domestiques sont gourmands en énergie (la pompe à chaleur (PAC) par exemple) ou encore que le compteur et l’installation électrique sont trop éloignés l’un de l’autre.

Le disjoncteur unipolaire

Incontournable au sein d’un tableau électrique. le disjoncteur unipolaire est chargé de contrôler les fuites électriques au retour de la phase, ce câble de couleur marron ou noir qui transporte la tension nécessaire au bon fonctionnement d’un équipement électrique.

Le disjoncteur bipolaire

Capable de contrôler la phase et le neutre, ce fil de couleur bleue qui, bien que ne possédant aucun courant à la base, reçoit le passage du courant parti de la phase qui finit sa route dans le câble de couleur jaune et vert, correspondant à la terre, le fil de la sécurité par excellence. Normalement, ce disjoncteur n’est pas indispensable pour un usage domestique, le disjoncteur unipolaire suffisant pour l’usage d’appareils électroménagers comme le frigo et ses différentes zones de températures, le four et ses résistances, ou encore le lave-vaisselle qui suscite de nombreuses discussions sur le forum Adepem.

Le disjoncteur tétrapolaire

Quant au disjoncteur tétrapolaire, se composant de trois phases et d’un neutre,  il est plutôt installé dans des entreprises dont les activités nécessitent un tel dispositif.

Quels sont les différents types de disjoncteurs ?

Disjoncteur général ou de branchement, disjoncteur différentiel, coupe-circuit, disjoncteur divisionnaire ou disjoncteur moteur, savez-vous qui ils sont, leurs principales caractéristiques et quel est le rôle de chacun ? Adepem vous propose un tour d’horizon rapide de façon à lever certains doutes, surtout si un jour, vous devez identifier l’un de ces disjoncteurs faisant partie de votre quotidien.

Qu’est-ce qu’un disjoncteur général, principal, d’abonné ou de branchement ?

C’est sûrement le module qui a le plus d’intitulés au cœur du tableau électrique ! Il faut dire que le disjoncteur général, principal, de branchement ou d’abonné, connu aussi sous l’intitulé de disjoncteur edf, joue des rôles essentiels :

  1. Coupure de l’alimentation générale si cela est nécessaire ;
  2. Coupure de l’installation électrique en cas de court-circuit ou de surtension électrique ;
  3. Protection des personnes afin de leur éviter tout risque d’électrisation ;
  4. Contrôle des défauts d’isolation électrique ;
  5. Réglage de la puissance utile au sein de votre logement selon le contrat d’électricité que vous avez souscrit.

Et dans ses différentes missions, il est aidé d’autres types de disjoncteurs clés.

Fonctionnement d’un disjoncteur différentiel, anciennement coupe-circuit

D’une haute sensibilité de 30 mA (milliampères) minimum, le disjoncteur différentiel est chargé de protéger les circuits, les équipements électriques et les personnes. Ce type de disjoncteur, anciennement appelé coupe-circuit, s’avère essentiel et recommandé par les professionnels de l’électricité. Le disjoncteur différentiel mettra à l’arrêt tout circuit d’un équipement qui présente un risque sans pour autant couper l’action des autres au sein du logement. Son action est donc à la fois sécurisée et ciblée, en toute circonstance.

Interrupteur ou disjoncteur différentiel : quelles différences ?

Situé dans le tableau électrique entre le disjoncteur principal et les disjoncteurs divisionnaires, l’interrupteur différentiel est chargé du même rôle protecteur que le disjoncteur différentiel à la différence près qu’il ne protège que les personnes face aux risques de fuite électrique. S’il se déclenche, toute la rangée d’appareils ou équipements électriques sera également coupée. Mais il ne peut détecter les courts-circuits ou les surcharges.

Disjoncteur divisionnaire : description

Un disjoncteur divisionnaire est installé à chaque début de circuit électrique au sein d’un bâtiment (particulier ou professionnel). Il détecte tout court-circuit ou surchauffe susceptible de toucher le circuit en question.
La majorité des disjoncteurs divisionnaires est réarmable, vous permettant une manipulation facile en cas de coupure, et il y a autant de modules de ce type que de circuits centralisés au cœur du tableau électrique.

Disjoncteur moteur : c’est quoi ?

Le disjoncteur moteur, appelé aussi disjoncteur magnétothermique moteur, a pour rôle la protection d’un moteur électrique en cas de surcharges ou de courts-circuits. On peut en trouver sur bon nombre de moteurs parmi lesquels les moteurs de tondeuse à gazon pour ne citer qu’elles.

Disjoncteur différentiel ou divisionnaire qui saute : trouver la cause

Les cas de coupure sont nombreux et trouver l’origine n’est pas toujours aisé. Adepem vous donne quelques clés et astuces afin de vous aider à y voir plus clair si jamais vous vivez une panne électrique et que cela touche l’un de vos appareils électroménagers. Surtension, puissance électrique trop faible, court-circuit ou pièce détachée défectueuse sur un appareil domestique, passons en revue les principaux cas de figure.

Que faire s’il s’agit d’une surtension ?

Une surtension se manifeste par la venue d’une tension plus importante que celle que le circuit électrique est capable de supporter d’ordinaire. Plus ou moins importants, ces changements de tension font l’effet de montagnes russes pour les appareils électroménagers. A terme, cela peut les abîmer.

La surtension électrique (exprimée en volts) peut être interne et résulter des appareils domestiques ou externe et due à un phénomène météorologique (orage) ou à la défaillance générale du réseau électrique général (public) par exemple, au cours de laquelle tout un quartier, plusieurs quartiers, voire des communes entières, se retrouvent plongés dans le noir le plus complet, souvent quand il fait déjà nuit. Loin d’être un scénario de film d’horreur, cette situation n’en est pas moins inconfortable. En plus de garder près de vous tous les contacts d’urgence de façon à vous informer de la situation et de l’heure de rétablissement du courant, voici quelques astuces simples afin de parer aux conséquences d’une surtension électrique, si vous le pouvez :

  • Débranchez vos appareils électroménagers et tout appareil sensible en cas d’orage ou de conditions météo délicates ;
  • Installez un parafoudre au sein de votre tableau électrique afin de protéger votre installation électrique si vous n’en avez pas déjà un ;
  • Ajoutez des prises parafoudre à vos prises électriques afin de protéger les appareils domestiques, que la panne soit générale ou seulement chez vous. 

Bon à savoir :

Attention, la surtension électrique peut aussi être due à une puissance insuffisante de votre compteur et la disjonction sera systématique lors du fonctionnement de plusieurs appareils électroménagers en même temps. Le mieux est sans doute de demander conseil à un électricien qualifié et de faire ajuster la puissance de votre compteur électrique.

Que faire s’il s’agit d’un problème de puissance électrique ?

Un problème de surcharge électrique, autrement dit d’intensité du courant électrique (exprimée en ampères), cause bien des soucis. Appelée aussi surintensité électrique, une surcharge électrique revient à un problème de puissance électrique puisque le circuit électrique n’est pas calibré pour intégrer une intensité plus forte que celle dimensionnée au départ. Résultat : le disjoncteur principal fait sauter les plombs. C’est le cas quand le fonctionnement de vos appareils électroménagers génère une puissance trop forte ou que plusieurs multiprises sont branchées en même temps. Cette surcharge entraîne un échauffement, pouvant à terme, provoquer la fonte de l’isolant. Autant vous dire que cela présente certains risques. 

Voici nos conseils pour éviter ce problème de puissance électrique :

  • Évitez de mettre en marche les appareils électroménagers les plus énergivores ou les plus sensibles en même temps ;
  • Branchez les gros appareils électroménagers, type lave-linge, lave-vaisselle ou frigo, directement sur une prise murale ;
  • Contactez un artisan électricien certifié pour faire vérifier l’ampérage des disjoncteurs divisionnaires reliant chaque appareil de votre logement, voire le disjoncteur différentiel lui-même car il peut, lui aussi, causer des coupures ;
  • Contactez votre fournisseur d’électricité afin de faire le point sur la puissance de votre compteur car elle n’est peut-être pas adaptée.

Que faire s’il s’agit d’un court-circuit ?

Un court-circuit est provoqué par deux conducteurs, le plus souvent des fils électriques, qui entrent en contact. Cela entraîne une surcharge et la coupure d’un ou de plusieurs appareils électroménagers, entre autres. En général, un court-circuit a pour origine un défaut d’isolation ou un contact avec l’humidité ou l’eau, ce qui détériore l’appareil électroménager et cause ces courts-circuits.
Dans ce cas, le mieux est de faire appel à un électricien, voire d’envisager une mise aux normes de votre tableau électrique, afin de sécuriser votre installation électrique et vos proches. Ce dernier en profitera pour vous installer une prise à la terre s’il n’y en a pas déjà une. C’est un gage de sécurité supplémentaire puisqu’elle est conçue pour attirer le courant au sol et éviter à toute personne le moindre risque d’électrocution. 

Quand les appareils électroménagers pètent les plombs à leur tour…

Un four qui disjoncte, un sèche-linge qui entraîne des coupures de courant ou encore, une machine à laver qui fait disjoncter votre installation, les appareils électroménagers peuvent être également à l’origine de ces pétages de plombs. Dans la majorité des cas, vous pouvez faire repartir le courant malgré le pouvoir de coupure des disjoncteurs, sachant qu’un disjoncteur divisionnaire ne va couper que le circuit suspecté et qu’il est réarmable : il suffit de le relancer à l’aide d’un bouton prévu à cet effet.
Mais quand ces coupures deviennent intempestives, il faut tout de même creuser un peu le problème. En effet, il se peut qu’une pièce détachée soit la cause de ces pannes de courant. Au-delà du fait que cela soit désagréable, cela peut altérer la durée de vie de votre appareil domestique.
Parmi les pièces détachées pouvant entraîner des disjonctions, il y a la résistance du four, la résistance du sèche-linge ou la résistance de la machine à laver.
Pour en avoir le cœur net, vous pouvez procéder au test de cette pièce détachée essentielle à l’aide d’un multimètre, en veillant à débrancher vos appareils électriques avant toute manipulation.

D’autres pièces détachées peuvent causer des pannes de courant, notamment le moteur et la pompe de vidange d’un lave-linge ou d’un sèche-linge qui créent un court-circuit, la résistance grill d’un four, la pompe de cyclage d’un lave-vaisselle, l’alimentation électrique ou encore les fils électriques d’un appareil électroménager..

Et si c’est le disjoncteur différentiel qui disjoncte, il y a une fuite de courant électrique sur l’un de ces appareils donc il est urgent d’agir car sans une bonne isolation, pas de sécurité optimale.

Quel disjoncteur différentiel ou divisionnaire (courbe C,D …) choisir pour les appareils électroménagers ?

Avoir un logement sécurisé et des appareils électriques fonctionnels est primordial. En choisissant les bons disjoncteurs différentiels et divisionnaires, selon les recommandations de la norme officielle en vigueur en France, la norme NF C 15-100, vous pourrez dormir sur vos deux oreilles.

Que dit la norme NF C 15-100 sur le disjoncteur et le dispositif de protection ?

Réglementant la conception, l’entretien et la réalisation des installations électriques basse tension en France, la norme NF C 15-100 impose la présence de disjoncteurs au sein du tableau électrique pour protéger les personnes et les biens et limiter les risques d’incendies. Leur nombre et leur type dépendent désormais de la taille de l’installation électrique et plus de la surface d’un logement.

Le tableau électrique doit réunir, entre autres :

  • Un disjoncteur de branchement ;
  • Un disjoncteur différentiel 30 mA à chaque rangée ;
  • Un interrupteur différentiel de type A (plaques de cuisson, lave-linge) et un interrupteur différentiel de type AC (radiateurs, prises, éclairage) de 30 mA maximum ; un interrupteur différentiel pouvant protéger jusqu’à 8 disjoncteurs ;
  • Un disjoncteur divisionnaire (de courbe C ou D, le premier étant le plus courant) pour chaque circuit ;
  • Les circuits dédiés à l’éclairage et aux prises de courant doivent être reliés à au moins 2 interrupteurs différentiels ;
  • Chaque disjoncteur doit être étiqueté. 

Les fusibles sont interdits et doivent être remplacés, si votre tableau électrique est ancien, par des disjoncteurs compatibles. Concernant les appareils électroménagers qui consomment beaucoup d’électricité, ils doivent avoir un circuit spécialisé. 

Disjoncteur (Hager, Legrand, Schneider…) 16 ampères (16a), 20a, 30ma ou 32a pour la cuisine ?

Afin d’éviter les épisodes de surcharge, de surtension ou les soucis de puissance électrique, sans oublier les risques d’incendies, il vous faut donc choisir les bons disjoncteurs, que cela soit de marque Legrand, Hager ou encore Schneider, pour chaque pièce d’un bâtiment. Nous allons surtout nous intéresser au calibrage des appareils électroménagers, à commencer par ceux de la cuisine dotée d’un circuit qui réunit plusieurs prises pour les petits appareils électroménagers, et un second circuit pour les gros appareils électroménagers. 

  • Les plaques de cuisson, que nous vous proposons d’entretenir grâce à un grand choix de pièces détachées sur notre site internet, doivent être protégées par un interrupteur différentiel de type A, de 30 mA maximum, et leur circuit doit être rattaché à un disjoncteur 32A ;
  • Le four électrique et le lave-vaisselle doivent être protégés par un interrupteur différentiel de type AC, de 30 mA maximum, et leur circuit respectif, d’un disjoncteur 20A ;
  • Si vous possédez une hotte dans la cuisine, son circuit doit être protégé par un disjoncteur de 10 ou 16A. N’hésitez pas à jeter un œil aux pièces détachées spécial hottes présentes dans notre catalogue : c’est le moment !
  • Bien que le réfrigérateur ne soit pas considéré comme un appareil électroménager nécessitant la mise en place d’un circuit spécialisé, il est conseillé de lui dédier une protection à part entière. Le protéger avec un disjoncteur de 16A ou de 20A sera ainsi une bonne chose ;
  • Quant au congélateur, il peut être protégé par un interrupteur différentiel de type F (tout comme une alarme ou un ordinateur) et son circuit par un disjoncteur de 20A.

Quel calibre de disjoncteur (Legrand, Schneider, Hager…) pour une salle de bains ?

La salle de bains, ou salle d’eau, est une autre pièce clé qui demande une protection dédiée, toute marque d’équipement électrique confondue.

Quel disjoncteur pour une VMC, une climatisation ou une PAC ?

D’autres appareils domestiques utilisant l’électricité doivent recevoir une protection intégrée au tableau électrique.
C’est le cas pour une ventilation mécanique contrôlée (VMC) dont le circuit doit être protégé par un disjoncteur de 2A ;

Pour le bon fonctionnement d’une climatisation ou d’une pompe à chaleur (PAC), vous devrez faire poser un disjoncteur suffisamment calibré qui supportera la puissance nécessaire à chaque appareil.

Prix moyen d’un disjoncteur

Mettre à jour un tableau électrique de façon à assurer la sécurité des personnes et des biens, grâce au pouvoir de coupure des disjoncteurs et parce que ce dispositif de protection est nécessaire, peut représenter un certain budget.
Le prix moyen d’un disjoncteur général oscille entre 65 et 160 euros, celui d’un disjoncteur différentiel de 30 mA, entre 35 et 270 euros et celui d’un disjoncteur divisionnaire, entre 10 et 160 euros. Ces prix sont donnés à titre indicatif et peuvent varier d’un magasin (ou d’un site internet) spécialisé à l’autre et d’une marque à l’autre (Hager, Schneider et Legrand étant des marques incontournables mais pas uniques).
Et à ces coûts, vous devrez ajouter ceux dédiés à l’installation par un électricien qualifié, sachant que la pose d’un disjoncteur coûte entre 10 et 20 euros, hors fournitures. 
Si vous souhaitez échanger avec d’autres personnes au sujet des pannes de courant électriques ou des appareils électroménagers qui disjonctent à la maison, pourquoi ne pas rejoindre le forum Adepem ?

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